Zelimkhan CHAVKHALOV - Avocat à Strasbourg

J'interviens partout en France pour défendre vos intérêts

Zelimkhan CHAVKHALOV - Avocat à Strasbourg
  • A propos de Me Chavkhalov

    Avocat au barreau de Strasbourg depuis janvier 2019, j’ai développé une expertise en contentieux administratif dans le cadre de ma collaboration avec un cabinet spécialisé en droit public. C’est en septembre 2020 que j’ai décidé de lancer mon propre cabinet. J’ai également acquis de solides compétences pour les contentieux civil, commercial et en droit des sociétés.


    Je vous propose de mettre à profit cette expérience de plusieurs années dans des matières relevant du droit public (refus d’agrément ou de carte professionnelle d'agent privé de sécurité par le CNAPS, Education nationale, permis de conduire, fonction publique, urbanisme, responsabilité administrative, commande publique, droit des étrangers etc.), mais également en droit privé (pénal, social, immobilier, droit des sociétés etc.).


    Je suis particulièrement attaché à la transparence la plus absolue s'agissant de mes honoraires. Aucune mauvaise surprise !

ZELIMKHAN CHAVKHALOV

AVOCAT AU BARREAU DE STRASBOURG


Avocat au barreau de Strasbourg depuis janvier 2019, j’ai développé une expertise en contentieux administratif dans le cadre de ma collaboration avec un cabinet spécialisé en droit public. C’est en septembre 2020 que j’ai décidé de lancer mon propre cabinet. J’ai également acquis de solides compétences pour les contentieux civil, commercial et en droit des sociétés.


Je vous propose de mettre à profit cette expérience de plusieurs années dans des matières relevant du droit public (refus d’agrément ou de carte professionnelle d'agent privé de sécurité par le CNAPS, Education nationale, permis de conduire, fonction publique, urbanisme, responsabilité administrative, commande publique, droit des étrangers etc.), mais également en droit privé (pénal, social, immobilier, droit des sociétés etc.).


Je suis particulièrement attaché à la transparence la plus absolue s'agissant de mes honoraires. Aucune mauvaise surprise !

Mes interventions partout en France



AGENT DE SÉCURITÉ

REFUS CNAPS


Vous avez reçu une décision de refus d'agrément ou de carte professionnelle du CNAPS ? Pas de temps à perdre, il faut rapidement contester cette décision avant l'expiration des délais de recours et demander sa suspension au juge des référés si vous êtes actuellement en exercice


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PERMIS DE CONDUIRE INVALIDATION 48SI


Votre permis fait l'objet d'une suspension administrative ou d’une invalidation ? L'échange de votre permis de conduire étranger contre un titre français a été refusé ? Il faut rapidement contester la décision !  Bien qu’établi à Strasbourg, je peux intervenir devant tous les Tribunaux administratifs de France.


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droit pénal

EXTRADITION


Vous êtes convoqué devant le Tribunal correctionnel ou le Tribunal de police ? Vous risquez une extradition ou faites l'objet d'un mandat d'arrêt européen ? Vous êtes victime d'une infraction ? Vous souhaitez faire effacer votre casier ou votre TAJ ? La représentation par un avocat est indispensable pour protéger vos intérêts.


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Droit des sociétés



Grâce à une solide expérience en la matière, les constitutions et l'immatriculation des sociétés commerciales (SAS, SASU, SARL, EURL) n'ont plus de secrets pour moi  !  Je m'occupe également des différentes formalités de modification des sociétés. Je peux également vous représenter dans le cadre d'un litige entre les différents acteurs d'une société commerciale.


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Droit commercial



Grâce à une formation en droit du commerce international dans le cadre du Master en droit international privé obtenu à l'Université de Strasbourg, je  peux vous assister et représenter dans les litiges contre vos partenaires commerciaux pour notamment le recouvrement de vos créances ou l'engagement de la responsabilité de votre partenaire commercial qui ne respecte pas ses obligations.


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RECOURS CAF



La CAF vous refuse le versement du RSA, de la prime d'activité ou des APL, les suspend sans aucune explication ou vous impose des dettes et des retenues sur vos prestations ? Ces décisions peuvent être contestées devant le Tribunal administratif compétent. Il y a urgence à agir. N'attendez pas que votre situation financière se dégrade davantage.


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  • CNAPS - Carte pro refusée

    Vous avez reçu une décision de refus d'agrément ou de carte professionnelle du CNAPS ? Pas de temps à perdre, il faut rapidement contester cette décision avant l'expiration des délais de recours et demander sa suspension au juge des référés si vous êtes actuellement en exercice.



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  • Permis de conduire invalidé

    Votre permis fait l'objet d'une suspension administrative ou d’une invalidation ? L'échange de votre permis de conduire étranger contre un titre français a été refusé ? Il faut rapidement contester la décision !  Bien qu’établi à Strasbourg, je peux intervenir devant tous les Tribunaux administratifs de France.



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  • Droit pénal - extradition

    Vous êtes convoqué devant le Tribunal correctionnel ou le Tribunal de police ? Vous risquez une extradition ou faites l'objet d'un mandat d'arrêt européen ? Vous êtes victime d'une infraction ? Vous souhaitez faire effacer votre casier ou votre TAJ ? La représentation par un avocat est indispensable pour protéger vos intérêts.



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  • Droit des sociétés

    Grâce à une solide expérience en la matière, les constitutions et l'immatriculation des sociétés commerciales (SAS, SASU, SARL, EURL) n'ont plus de secrets pour moi  !  Je m'occupe également des différentes formalités de modification des sociétés. Je peux également vous représenter dans le cadre d'un litige entre les différents acteurs d'une société commerciale.



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  • Droit commercial

    Grâce à une formation en droit du commerce international dans le cadre du Master en droit international privé obtenu à l'Université de Strasbourg, je  peux vous assister et représenter dans les litiges contre vos partenaires commerciaux pour notamment le recouvrement de vos créances ou l'engagement de la responsabilité de votre partenaire commercial qui ne respecte pas ses obligations.



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  • Recours CAF

    La CAF vous refuse le versement du RSA, de la prime d'activité ou des APL, les suspend sans aucune explication ou vous impose des dettes et des retenues sur vos prestations ? Ces décisions peuvent être contestées devant le Tribunal administratif compétent. Il y a urgence à agir. N'attendez pas que votre situation financière se dégrade davantage.



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Honoraires

Si les honoraires sont librement déterminés entre l'avocat et le client, je suis attaché à une transparence la plus absolue s'agissant de mes tarifs. Aucune mauvaise surprise.


Un devis personnalisé vous sera adressé et une convention d'honoraires vous sera proposée obligatoirement.


J'accepte également d'intervenir dans le cadre de l'aide juridictionnelle totale, selon les situations de chacun et la difficulté du dossier.


Si vous êtes titulaire d'une garantie de protection juridique auprès d'un assureur, vous pouvez demander le remboursement des honoraires payés. Certaines personnes peuvent être titulaires de plusieurs contrats et dans ce cas il est possible de tous les mobiliser.


Il est important de noter qu'aucune compagnie d'assurance ne peut vous imposer un avocat.


Vous demeurez libre dans le choix de votre avocat, même si vous mobilisez une garantie de protection juridique, en vertu de l'article L.127-3 du code des assurances.

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67 rue Boecklin

67000 STRASBOURG 


Case ordre 362



Tél. : +33 (0) 3 69 61 01 11


Fax : +33 (0) 3 68 38 10 06

Mon blog

par Zelimkhan Chavkhalov 01 janv., 2024
Par un jugement du 23 décembre 2023, le Tribunal administratif de Pau a mis en évidence l'importance de ne jamais admettre la réalité des faits ayant fondé des mises en cause pénales suivies d'une inscription dans le fichier du Traitement des Antécédents Judiciaires (TAJ). Dans cette affaire, le CNAPS avait refusé l'autorisation préalable à une formation d'agent privé de sécurité à un pétitionnaire en raison de plusieurs mentions le concernant dans le TAJ. Le refus avait été contesté par l'intéressé, d'abord devant la CNAC, puis devant le Tribunal administratif. Il convient de rappeler qu'à la suite de la réforme de 2022, la CNAC (Commission nationale d’agrément et de contrôle) et les CLAC (Commissions locales d’agrément et de contrôle) n'existent plus, y compris pour le recours administratif préalable obligatoire. Le Tribunal administratif de Pau annule la délibération de la CNAC en considérant que " s'il ressort des pièces du dossier que M. B a fait l’objet de deux mentions au fichier du traitement des antécédents judiciaires dans le cadre de procédures pour les faits précédemment rappelés, le CNAPS n’apporte toutefois aucun élément circonstancié de nature à les caractériser alors qu’ils n’ont fait l’objet d’aucune condamnation et que M. B conteste les avoir commis. Dans ces conditions, le CNAPS ne met pas le tribunal en mesure d’en apprécier la matérialité, alors qu’au demeurant, les mentions sur ce fichier ont fait l’objet d’un effacement postérieurement à la délibération attaquée. Dès lors, il y a lieu de regarder les deux motifs opposés par la CNAC comme étant entachés d’une erreur de fait ". Deux points importants sont à souligner s'agissant de cette décision : 1) il ne faut jamais admettre de quelque manière que ce soit la réalité des faits ayant pour origine les mises en cause pénales inscrites dans le TAJ et 2) c'est le CNAPS qui doit apporter des éléments circonstanciés permettant de considérer que les faits à l'origine de la mise en cause sont établis. 1) Ne jamais reconnaître les faits ! Lorsque vous solliciter la délivrance d'une autorisation préalable, d'une carte professionnelle ou d'un agrément dirigeant au CNAPS, celui-ci consulte, par l'intermédiaire de ses agents habilités, les informations vous concernant dans le TAJ. Si par malheur, des mentions y figurent, les occasions ne vous manqueront pas de commettre l'irréparable en reconnaissant les faits à l'origine de ces mentions. Evidemment, ce dont on parle ici, ce sont les mises en cause dont les procédures ont été classées sans suite sans aucune condamnation pénale. Avant de vous notifier une quelconque décision de refus, le CNAPS a l'obligation de vous inviter à présenter vos observations sur les résultat de l'enquête administrative vous concernant, ayant abouti à la découverte par celui-ci de vos mises en cause pénales. S'il ne le fait pas, sa décision peut être annulée par le juge administratif pour vice de procédure et notamment le non respect de la procédure préalable contradictoire. A cette occasion, il ne faut surtout pas être ambigu sur la contestation des faits à l'origine des mises en cause qui vous concernent. Evitez par exemple d'évoquer des "excuses" ou le "pardon", puisqu'il peut être considéré que par ces locutions, vous reconnaissez avoir commis les faits. Il en va de même, si vous décidez après la notification du refus, d'adresser un recours gracieux au Directeur du CNAPS. Là encore, on rappellera qu'il n'est pas obligatoire de le faire, comme ce fut le cas pour les recours adressés à la CNAC. A l'occasion de ce recours facultatif, il faut également fermement contester la matérialité des faits qui vous sont reprochés et il en vaudra de même pour le recours déposé devant le juge administratif. 2) C'est au CNAPS d'apporter les éléments permettant de considérer que les faits sont établis ! Dans le cadre de la consultation du TAJ, le CNAPS n'a en général pas connaissance de l'issue des procédures inscrites dans ce fichier. Rien ne l'empêche cependant de demander des informations complémentaires au bureau d'ordre pénal ayant eu à traiter de ces procédures. S'il ne le fait pas, cela ne constitue pas une irrégularité. En revanche, tout comme dans le jugement commenté, il lui sera reproché de ne pas apporter les éléments permettant de considérer que les faits à l'origine des mises en cause sont établis. Si à aucun moment de la procédure, soit depuis le courrier du CNAPS vous demandant vos observations, jusqu'au recours déposé devant le Tribunal administratif, vous n'avez reconnu la réalité des faits à l'origine des mentions dans le TAJ, le juge administratif peut considérer que les faits ne sont pas établis et ainsi, annuler la décision de refus que vous attaquez. C'est précisément ce que relève le Tribunal administratif de Pau dans le jugement commenté, puisqu'il semble que le CNAPS n'a apporté aucune information sur l'issue des procédures. A savoir également que, les mentions dans le TAJ avaient été effacées postérieurement à la délibération de la CNAC attaquée. La juridiction a tenu compte non pas de l'effacement en lui-même, puisqu'il est intervenu après la décision du CNAPS et dès lors qu'en la matière le juge statue à la date de la décision attaquée, mais plutôt de l'impossibilité d'établir la réalité des faits à l'origine de la mise en cause, ayant fondé la décision de refus de l'autorisation préalable. Enfin, j'émets également des réserves sur la portée de ce jugement, puisque jusqu'à maintenant, la jurisprudence admettait la légalité des décisions du CNAPS dès lors qu'il existait des mentions dans le TAJ, sauf à démontrer pour le requérant, que ces faits n'étaient pas avérés. Nous verrons donc si le jugement est confirmé en appel, à condition bien sûr que le CNAPS saisisse la cour administrative d'appel de Bordeaux. TA Pau, 2e ch., 26 décembre 2013, n° 2100868
par Zelimkhan Chavkhalov 16 juin, 2023
Par un jugement du 6 juin 2023, le Tribunal administratif de Melun vient de préciser l'étendue du contrôle opéré par le juge administratif lorsqu'il est saisi d'un recours à l'encontre d'une sanction disciplinaire prononcée par le CNAPS, fondé sur la violation de l'article 6, paragraphe 1 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales (CEDH).
par Zelimkhan Chavkhalov 26 avr., 2023
CNAPS et régularité de sejour : le juge des référés du Conseil d’Etat considère que la durée de détention d’un titre de séjour depuis au moins cinq ans, doit être continue. Cette condition avait été ajoutée par la Loi sécurité globale du 25 mai 2021. Avant cette réforme, il suffisait d’être titulaire d’un titre de séjour au moment de la demande, pour l’obtention de l’agrément d’agent privé de sécurité. L’article L.612-20 du code de la sécurité intérieure dispose désormais que l’autorisation d’exercice de l’activité de sécurité privée est refusée à un étrangers non ressortissant de l’UE ou de l’EEE, s’il n’est pas titulaire « depuis au moins cinq ans, d'un titre de séjour » (4° bis). Outre une rédaction bancale du texte, cette décision est en parfaite contradiction avec l’objectif de la loi. Pour rappel, lors de l’examen de la constitutionnalité de la Loi sécurité globale, le Conseil constitutionnel avait estimé cette nouvelle condition comme étant conforme à la Constitution en considérant que « l e législateur a entendu mettre l'administration en mesure de s'assurer, par l'examen de leur comportement sur le territoire français durant une période suffisante, qu'ils respectent les conditions de probité et de moralité exigées pour l'exercice d'une activité privée de sécurité » (décision n° 2021-817 DC du 20 mai 2021). On comprend donc que l’objectif de la loi vise à s’assurer que le ressortissant étranger respecte les conditions de probité et de moralité exigées pour l’exercice d’une activité de sécurité privée, par l’examen de son comportement sur le territoire français durant une période suffisante. C’est donc le temps de présence sur le territoire français qui devrait compter avant tout. La durée de 5 ans de détention d’un titre de séjour ne devrait donc pas être continue et devrait s’apprécier en prenant en compte toutes périodes confondues de présence en situation régulière sur le territoire français. Il ne reste plus qu'à attendre une décision au fond du Conseil d'Etat pour être définitivement fixée sur la question. https://www.legifrance.gouv.fr/ceta/id/CETATEXT000047489988/
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